FEEL GOOD de THOMAS GUNZIG

FEEL GOOD de THOMAS GUNZIG
Feel good de Thomas Gunzig
Feel good de Thomas Gunzig

Thomas Gunzig nous entraîne dans un récit, entre roman social et fresque dégantée, où l’on se laisse porter par la vie dissolue de ses personnages. À la fois drôle et amer, pour un plaisir garanti !

FEEL GOOD de Thomas Gunzig

Alice la quarantaine, précaire, un enfant, lutte chaque jour pour survivre. Alors qu’elle est au bout du rouleau, une idée saugrenue lui vient à l’esprit :  enlever un enfant pour en tirer une rançon. C’est en passant devant une crèche qu’elle accomplit son méfait. Mais rien ne se passe comme elle l’avait imaginé. Personne ne réclame le bébé. Elle fait par contre la rencontre de Tom, écrivain raté – bien que publié –  cherchant perpétuellement l’histoire qui le sortira de son triste sort. C’est le début d’une fresque rocambolesque. Dans leur misère et leur désespoir, Alice et Tom en viennent à échafauder une idée. Et s’ils tentaient un braquage ! Mais pas n’importe lequel. Un Feel Good…

CE QUE NOUS PENSONS DE FEEL GOOD
DE THOMAS GANZIG

Thomas Gunzig nous entraîne dans un récit, entre roman social et fresque dégantée, où l’on se laisse porter par la vie dissolue de ses personnages. Où l’imagination dérape, rebondie, où l’amour n’est pas toujours simple, mais le désir de vivre dignement est un droit à conquérir. C’est parfois drôle, pathétique, émouvant. Le plaisir est là et garanti !

QUATRIÈME DE COUVERTURE

« Ce qu’on va faire, c’est un braquage. Mais un braquage sans violence, sans arme, sans otage et sans victime. Un braquage tellement adroit que personne ne se rendra compte qu’il y a eu un braquage et si personne ne se rend compte qu’il y a eu un braquage, c’est parce qu’on ne va rien voler. On ne va rien voler, mais on aura quand même pris quelque chose qui ne nous appartenait pas, quelque chose qui va changer notre vie une bonne fois pour toutes. »

Quel est le rapport entre un écrivain sans gloire, le rapt d’enfant et l’économie de la chaussure ?
Vous le saurez en lisant la nouvelle satire sociale de Thomas Gunzig.

Source éditeur

Editions Le Diable Vauvert  – 400 pages – 20,00 euros
Feel Good est disponible à la librairie L’Opuscule.



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